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Migrants: une France profonde métastasée tout exprès dans son tissu le plus fragile

Je vais vous raconter à grandes enjambées une histoire immobilière qui montre comment ces migrants implantés de force à travers le territoire sont, en ce moment,

inoculés savamment, à la France profonde que les Socialistes détestent, et le sont, notamment, pour cette raison. Il suffit simplement de profiter des faiblesses du tissu local. C'est bien connu les maladies se développent d'abord sur les organes affaiblis, lesquels sont faciles à repérer.Dans le village dont je vous parle, au début des années Mitterrand, un militant de la ligue communiste révolutionnaire achète au curé, pour une misère, une maison minuscule derrière l'église. Ne me demandez pas pourquoi l'évêché n'a rien dit, je l'ignore. Notre communiste la retape et la revend quatre ans après à des Allemands, moyennant une plus value importante. Avec cet argent, il va voir la mairie de la ville socialiste voisine, pour lui dire qu'il convoite une ancienne colonie de vacances dont elle est propriétaire et où elle organise des classes de nature. Elle est située à la sortie du village. Le candidat n'a qu'une somme minuscule, le cinquième de ce qui est nécessaire. Il fonde donc une association-bidon destinée à encourager la créativité en milieu rural. La mairie de la ville lui attribue une subvention, elle baisse le prix du bâtiment, l'appel d'offres est bâclé, le gars emprunte un peu de son côté et voilà notre militant trotskyste à la tête d'un hectare et d'une maison de quinze pièces qu'il refait du sol au plafond, en ayant soin d'y monter une exposition par an pour justifier le maintien de sa subvention. Ensuite divorce, séparation, le militant trotskyste vend très cher le bâtiment à un couple de Parisiens qui pense faire chambre d'hôtes mais qui ne fait rien du tout et qui vivote entre RSA et potager.
Arrive cette affaire de migrants en 2016. La mairie socialiste de la ville voisine se souvient des lieux et, pour être bien notée de la Préfecture, elle songe à accueillir ces gens, ces Syriens, ces Afghans, en vérité principalement des Africains, mais pas chez elle, non, dans ce village à vingt kilomètres, chez ce jeune couple dont on sait qu'il a des problèmes de rentabilité, et qu'il ne va pas pouvoir dire non.
Et voilà pourquoi dans ce milieu rural sans histoire, on est en passe de se haïr pour de bon, à cause d'un bâtiment public bradé il y a trente ans à des copains, au nom de l'idéal associatif, et qui a servi principalement à enrichir un militant trotskyste, lequel roule en 4X4 Mercedes, et bien entendu, anime, parallèlement, une association pro-migrants.