La Presse

Revue de presse II

1988
On aimerait que de tels auteurs bénéficient, ne fût-ce que par inadvertance ou malentendu éditoriaux, de la mise en vedette par un prix littéraire.
J.Ph Mestre, Le Progrès Dimanche
1988
Combaz a la vivacité des romanciers anglais du XVIII ème siècle qui excellaient dans le style picaresque et enjoué.
Jacques de Decker, Le Soir, Bruxelles


1988
Un conteur aérien comme Voltaire... sa réjouissante élégance d'expression cache mal une ambition très haute.
Renaud Matignon, le Figaro
1988
De cette distance avec le monde mondain, naît une oeuvre originale et captivante. "A ceux qu'on n'a pas aimés" en est l'expression la plus accomplie. Christian Combaz est un moraliste dans la veine des La Bruyère ou des Diderot.
Hugo Marsan, le Gai pied
1988
Quel brio! L'auteur lance des mots bien choisis, des répliques dignes du cinéma français de l'entre deux guerres.
Michel Paquot, Cité de Bruxelles
1988
Christian Combaz se démarque non seulement par un style d'une rare élégance, mais aussi par la compassion qu'il manifeste à ses personnages.
CV. Femme Pratique
1988
Pourquoi ce romancier n'a t-il pas le sort qu'il mérite ?
Anne Pons, l'Express
1988
Un auteur grinchissime et plaisamment roboratif
Juliette Boisriveaud, Cosmopolitan
1988
A ceux qu'on n'a pas aimés n' est pas seulement l'histoire d'une héroïne exemplaire, de celles que l'on oublie plus, c'est, en puissance, un roman auquel les historiens du XXI siècle devront se référer pour comprendre les années 60. On voudrait résumer d'un mot tous les éloges que mérite ce livre féroce et bouleversant. On n'en trouve qu'un et on le pèse: admirable!
François-Olivier Rousseau, Le Figaro Magazine
1990
Cet écrivain poursuit une tradition éthique et spirituelle illustrée par Mauriac, par Bernanos, par Julien Green. C'est une grande tradition du roman français, toujours vivante. Il faudrait être bien myope pour ne pas lui rendre l'hommage qu'elle mérite.
Claude Prévost, L'Humanité.
1990
Un romancier qui, par la qualité de son écriture et de sa réflexion, par la hauteur de ses préoccupations spirituelles, se situe au tout premier rang.
Jean Claude Lebrun, Révolution
1990
L'oeil est celui d'un Maupassant qui lorgnerait plutôt vers des cauchemars slaves que vers des servantes de Basse-Normandie
Renaud Matignon, Le Figaro
1991
Une telle voix, une telle force, une telle lucidité étonnent dans la littérature d'aujourd'hui . Il faudra du temps du temps avant que les yeux se dessillent et que s'ouvrent les consciences. Qu'importe! tout viendra à son heure.
Christian Signol, La Montagne
1991
Il construit l'une des oeuvres les plus denses et les plus estimables de sa génération. Sa jeunesse et son talent grave lui permettent décidément les plus hautes ambitions.
Jean Soublin, l'Express.
1992
Dostoïevskien!
Roger Bichelberger, le Républicain Lorrain
1995
Un auteur dont les critiques feraient bien d'évaluer enfin l'envergure.
Christian Charrière, le Figaro