reeditions

france2

Valeurs Actuelles, 2013
A force de s’entendre seriner sur tous les tons et sur toutes les ondes que la France silencieuse est celle des “quartiers difficiles” et des “minorités visibles”, on en vient à oublier qu’il existe un pays réel qui ne s’exprime guère et dont les médias parlent peu : la France des campagnes.
 
Le Monde, Florent Georgesco, 2016
Simon Fouchet, dont Votre serviteur raconte la curieuse ascension de la fin de l’enfance à une maturité incertaine, paraît d’abord peu disposé à fuir quoi que ce soit. Poussé par « une ambition inquiète, impatiente, pleine de calcul et d’imagination », il se laisse au contraire entraîner dans les différents labyrinthes de son temps (les années 1960 et 1970) et espère bien s’y faire une place.
 
 Photo prise pendant les repérages du livre et montrant ce curieux cisaillement d'une baïonnette à l'endroit où l'un des avions  a frappé le World Trade Center. Le monument est dédié aux victimes de Katyn car les rivages du New Jersey sont peuplés de Polonais émigrés après la guerre.
 
Oliver Twist revisité par Dostoïevski
Arnould de Liedekerke, Le Figaro Magazine
1997
L'univers de Christian Combaz : la force de l'invisible, la bienveillance des morts, le rôle de l'art comme médiateur de la grâce, la puissance de l'innocence.
Laurent Dandrieu, le Spectacle du Monde
 
1988
On aimerait que de tels auteurs bénéficient, ne fût-ce que par inadvertance ou malentendu éditoriaux, de la mise en vedette par un prix littéraire.
J.Ph Mestre, Le Progrès Dimanche
1988
Combaz a la vivacité des romanciers anglais du XVIII ème siècle qui excellaient dans le style picaresque et enjoué.
Jacques de Decker, Le Soir, Bruxelles
 
1979
Du grand art. Seul compte le ton et Combaz en a un qui frappe tout de suite par son élégance, son impassibilité mériméenne, son aptitude à clarifier, dans la psychologie de l'individu, les manigances de l'ombre.
Angelo Rinaldi, l'Express
1981
Montherlant, Bernanos. Combaz n'a pas besoin de ces prestigieux ancêtres pour lui servir de béquilles. C'est un grand.
Eric Neuhoff, le Quotidien de Paris
1982